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Notre village

Cescau 2015

Cescau est un petit village français, situé dans le département des Pyrénées-Atlantiques et la région d'Aquitaine. Ses habitants sont appelés les Cescalois et les Cescaloises.
La commune s'étend sur 8 km² et compte 572 habitants depuis le dernier recensement de la population datant de 2015 avec une densité de 71,5 habitants par km². La commune est desservie par la route départementale D 32 et D 233 qui se croisent au lieu dit "Le Canton". Les 798 hectares de la commune sont arrosés par des cours d'eau de faible débit: la Geüle (afluent du gave de Pau), l’Aubin qui prend sa source à Cescau et le Gouaret.
Entouré par les communes de Viellenave d'Arthez, Casteide Cami et Labastide Monréjeau, Cescau est situé à 7 km au nord d'Artix la plus grande ville à proximité.
Situé à 259 mètres d'altitude, le village de Cescau a pour coordonnées géographiques

Latitude: 43° 24' 38'' nord
Longitude: 0° 30' ouest.
 

L’histoire de Cescau est ponctuée d’occupations diverses, car sa situation géographique privilégiée lui permet de bâtir des camps défensifs sûrs. Par la suite, sa réputation s’accroît avec l’implantation d’une commanderie de l’ordre de Malte.

La présence humaine sur le site est attestée dès l’époque protohistorique. En effet, de nombreux camps en témoignent, comme le Turon deu Bourier, le Turounet de Las Mouleres ou encore le castera Cazalet. Cette occupation précoce s’explique, comme pour les autres villages de la vallée du Luy-de-Béarn, par une vue plongeante sur la plaine, permettant une défense facile du territoire.

Dès le premier recensement de 1385, Cescau apparaît comme un village important avec une trentaine d’oustaüs (foyers) comptabilisés. de plus, situé sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle, Cescat attire très tôt une commanderie de l’ordre de Malte. Un hospice est accolé à cette chapelle-commanderie Saint-Onofre au tout début du XVe siècle. Malheureusement, il ne reste pas de trace de cet ensemble, détruit à la Révolution. En revanche, plusieurs maisons du XVIIIe siècle sont recensées sur le territoire communal. L’église paroissiale est quant à elle, reconstruite au XIXe siècle.

 

Ce sont les "sesques" plantes aquatiques à longues feuilles et poussant dans les lieux humides qui auraient donné leur nom au village.